Jean-Luc Coatalem –La part du fils.
Le petit-fils de Paol, qui ne dit jamais son nom est tracassé par l'arrestation inexpliquée de son grand-père, déporté et mort à Buchenwald, .une tâche jamais effacée, cachée par la famille dans l'omerta.
Il entreprend des recherches partout où Paolo est passé sans jamais trouver la réponse, En se mettant dans sa peau il alterne les souvenirs avec la terrible condition des déportés. 
La guerre des poilus dans les tranchés en 1914, sa mutation en Indochine et les erreurs de la colonisation, remobilisé en 1939, ses fonctions de directeur d'usine, le cavalier et le marin de sa jeunesse en Bretagne, la douce vie de famille avec Jeanne une femme délicieuse.
De retour au pays il revisite les lieux de son enfance, la maison familiale, la lande bretonne, et la mer omniprésente.
Quand il reçoit un coup de téléphone d'un homme de 82 ans qui se souvient que sa mère avait été la secrétaire de Paol. Elle lui avait raconté qu'il y avait eu une violente dispute avec Victor l'interprète de l'organisation TODT. Paol lui aunait reproché d'être vendu à l'Allemagne. Pour se venger Victor qui risquait de perdre sa place d'un d'interprète l'aurait dénoncé à la gestapo.
Rassuré par la vérité, tout en ayant retrouvé sa dignité le petit-fils se baigne dans la mer, renouant avec la pratique de tous ses ancêtres.