Hatoko : la petite-fille (Popo)
L'ainée : la grand-mère
Madame Barbara : une voisine
Nous sommes au Japon, un pays dont les traditions culturelles sont tellement différentes des notres qu'il ne faudrait pas s'en étonner.
"L'ainée" tient une petite papeterie où elle exerce le métier d'écrivain public. Elle a accueilli Hatoko, sa petite-fille et lui a appris l'art difficile de la calligraphie. Il faut apprendre à écrire des lettres au pinceau, faire son encre avec la pierre à encre en calculant bien sa dilution mais surtout quand la calligraphie se met au service de l'écrivain public, il faut être à l'écoute, savoir consoler, accompagner, encourager et bien répondre aux attentes des "clients"
Quand l'informatique, l'électronique et les Smartphones se développent, l'écrivain public évolue et dessine les enseignes des magasins, des messages publicitaires et des lettres officielles; tout en gardant le contact avec les petites gens.
A la mort de l'ainée, Hatoko hérite de la papeterie et devient écrivain public. Ogawwa Ito nous fait vivre au jour le jour avec les gens du quartier, et de la petite ville, c'est une découverte du Japon par la base.
Un air de poésie qui rend la vie plus légère, et plus douce, dans ce pays qui est à la pointe des nouvelles technologies. Il y a tout lieu d'espérer quand la place des fleurs y est si importante.